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Conférence Livron avec Robert Dun |
Il manque un ami! Il est parti avec les oies sauvages et s'est envolé pour le voyage dont on ne revient pas, celui où l'on rejoint la Grande Armée.
Maurice Rollet, pour ceux d'entre nous qui l'ont connu, approché, son souvenir reste à jamais impérissable, d'abord son sourire qui vous accueillait amicalement, pas le sourire d'un marchand levantin qui cherche à vous vendre une machine à laver, non plutôt l'un de ces sourires profonds, sympathiques, chaleureux, heureux de vous rencontrer, de vous revoir, de partager avec vous un moment de camaraderie. Lorsqu'il vous connaissait il vous entourait de ses bras pour une accolade fraternelle et virile, destiné aux membres de notre communauté.
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De génération en génération... |
De son passé, de soldat perdu dans les rangs de l'OAS on retiendra l'homme d'action, prêt à sacrifier sa vie ou sa liberté pour son idéal. De son séjour à la Santé (qui n'est pas un établissement de soins pour les petits bourgeois) il gardera de nombreuses amitiés : celle de Spaggiari, Desroches, et d'autres membres de ce que la bourgeoisie parisienne appelle avec dédain et dégout "cette droite extrême".
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Jetons la buche au feu |
Maurice, à tout jamais nous serons fidèles à ton combat! Que les Dieux te réservent la meilleure place au Walhalla!
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Chantant "Fanchon" |
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